« Estrella Caitlyn Butler » CELEBRITE : Scarlett Johansson
METIER OU ETUDES : Etudiante en planétologie et en psychologie, et ce depuis quatre années.
MESSAGES : 443
DATE D'INSCRIPTION : 06/10/2012
AGE DU JOUEUR : 32
![What's the problem ? [Enestor & Estrella] Empty](https://2img.net/i/fa/empty.gif) |  Sujet: What's the problem ? [Enestor & Estrella] ![What's the problem ? [Enestor & Estrella] Icon_minitime](https://2img.net/i/fa/icon_minitime.gif) Lun 4 Fév - 9:54 | |
|  What's the problem ?Noms des participants : Enestor Dan Mason & Estrella Caitlyn Butler
Date et moment de la journée : Mi décembre 2017 début d'après midi
Lieu du RP : Sur le campus, côté université
Statut du RP : Privé
Nom de l'intrigue en cours : None
Codage © Padmo(hora) |
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« Estrella Caitlyn Butler » CELEBRITE : Scarlett Johansson
METIER OU ETUDES : Etudiante en planétologie et en psychologie, et ce depuis quatre années.
MESSAGES : 443
DATE D'INSCRIPTION : 06/10/2012
AGE DU JOUEUR : 32
| | Sujet: Re: What's the problem ? [Enestor & Estrella] Mar 5 Fév - 12:27 | |
|  Je venais de sortir d’un petit restaurant et j’étais de retour sur le campus. Mais pas à n’importe quel endroit. J’avais encore un certain temps avant de reprendre les cours, c’est pourquoi j’avais décidé d’aller trainer un peu autour du secteur où Erlin donnait cours. On ne savait jamais, je pouvais bien tomber sur lui ou inversement. Mais je fus malchanceuse ce jour-là, je ne le vis pas. Bon, je n’y trainai pas deux heures non plus, je ne voulais pas avoir l’air désespéré. Il ne fallait pas pousser. Erlin était Erlin, mais il restait un homme. Je pouvais certes être très pot de colle, je n’allais cependant pas me couper en quatre pour lui. Alors que je me résignai à faire demi-tour, je croisai un groupe de filles, la vingtaine tout juste peut-être, qui me fixait et semblait marmonner. S’il y avait bien une chose que je ne supportais pas, c’était bien ce genre de comportement. Cracher dans le dos des gens et les juger ainsi, sans même les connaître. Et j’avais beau creuser dans ma mémoire, je ne me rappelais pas de leur visage. Haussant un sourcil, je m’approchai d’elles alors qu’elles faisaient semblant que rien ne se passait. Une fois à leur hauteur, je les toisai nonchalamment. Qu’est-ce qu’elles pouvaient bien me vouloir ? « Il y a un souci ? » De toute évidence, elles ne s’attendaient pas à ce que j’intervienne. Elles me lancèrent des regards étonnés et hautains. Mais elles n’étaient pas si à l’aise qu’elles voulaient bien le croire ou le montrer. « Euh, non, pourquoi ? » Je secouai la tête et fis mine de m’en aller. Si je détestais ces situations, je n’avais pas de temps à perdre avec des gamines de la sorte. Mais alors que je tournai les talons, une autre éleva la voix. « C’est toi qui sors avec le prof O’Sullivan ? » Je levai les sourcils et me retournai vers elles. « Pardon ? » Elle croisa les bras, sûrement pour paraître sûre d’elle, ce qui ne marcha pas. Du moins, pas avec moi. « Bah oui, t’es toujours à traîner par ici, alors… »  Je me plantai devant elles de façon désinvolte, écoutant la petite maligne déblatérer ses preuves. « Et ? » Il fallait maintenant qu’elle réfléchisse à quoi répondre à ça. Du fait que je traînais par ici, je sortais avec le prof ? Belle maturité. J’étais bien d’accord que vouloir séduire un professeur n’était pas réellement bien vu, mais tirer des conclusions de choses fausses et si peu résolvantes me dépassait. Les commérages, ça faisait bien longtemps que je n’y touchais plus de cette façon, du moins. Je n’avais pas eu une période débile pendant longtemps, et j’étais loin de regretter l’adolescence. « Bah et, nous on couche pas pour avoir des bonnes notes. » Je fis les yeux ronds. Était-elle sérieuse ? Je savais bien que j’étais une séductrice dans l’âme et que je ne me laissais pas marcher dessus par les hommes. Je n’étais cependant, et certainement pas une fille facile, comme elle l’avait suggéré. C’était insultant, dégradant, et rageant. Je la fixai, et je devinai qu’à ma façon de le faire, ça la déstabilisa quelque peu. « Ma grande, ça fait presque dix ans que j’étudie ici. Tu crois sincèrement que j’ai besoin de ça ? Si je voulais avoir des bonnes notes facilement pour me barrer vite fait, ce serait fait depuis longtemps. » Au moins, j’eus l’air de lui avoir cloué le bec. Cela se voyait dans son regard, elle était à cours de répliques. Mais alors que j’allais finalement m’en aller, je la vis du coin de l’œil ouvrir à nouveau la bouche. Si je voulais filer au plus vite pour la dissuader de continuer dans cette voie sans issue, je l’entendis néanmoins murmurer. « Pimbêche. » |
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