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 noah s. fitz || and in this moment, i swear we are infinite

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AuteurMessage


Noah S. Fitz
« Noah S. Fitz »
CELEBRITE : Logan Lerman
MESSAGES : 145
DATE D'INSCRIPTION : 17/10/2012


Behind my mind
RELATIONSHIPS:
BLABLABOX:
DISPO POUR UN RP: Oui :)

noah s. fitz || and in this moment, i swear we are infinite  Empty
MessageSujet: noah s. fitz || and in this moment, i swear we are infinite noah s. fitz || and in this moment, i swear we are infinite  Icon_minitimeMer 19 Déc - 19:53



NOAH SEAN FITZ
feat. Logan Lerman
Poste vacant Scénario Inventé



Nom elfique :
Nom : Fitz
Prénom(s) : Noah Sean
Origines : Irlandaises
Date de naissance & âge : 14 Janvier 1998, 19 ans
Études et/ou emploi(s) : Etudiant en deuxième année d'architecture
Statut : En couple

Race : Humain
Capacité :
Position :
Allégeance :
Citation

Caractère ❧
Extraverti – Entêté – Protecteur – Impulsif – Créatif – Borné

Caractère

Noah est une personne assez compliquée, pas de la façon aussi extrême que l’un des dix-huit problèmes mathématique de Smale, mais il reste une personne aux multiples facettes parfois difficile à cerner. Si vous demandez à quelqu’un qui est Noah Fitz, il vous répondrait quelque chose d’approximatif tel que : « Noah ? Oh, oui. Il joue dans l’équipe de soccer du campus, il est assez bon d’ailleurs, mais il surtout assez vantard, il aime bien faire des conneries avec ses potes. Il fait pas du dessin aussi ? Je m’en rappelle plus. » C’est l’apparence qu’il se donne. Etre un étudiant en architecture normal, participer aux activités extra-scolaires et sortir, profiter de la vie tant qu’il en est encore temps. D’un côté, ce n’est pas seulement une apparence, c’est vraiment lui, mais derrière se cache quelque de plus profond, de plus fort. Il est assez extraverti, et ce depuis sa plus tendre enfance, il aime parler, s’exprimer et être entouré, il déteste la solitude, c’est un peu sa bête noire. Mais il est surtout entêté et borné, lorsqu’il a une idée en tête, il ne la lâche pas. Il est aussi protecteur, surtout envers ceux à qui il tient, comme sa petite-amie et son côté impulsif n’y arrange rien, il n’est pas particulièrement bagarreur, mais parfois, une simple goutte d’eau faire déborder le vase et tout s’effondre. Mais généralement, il essaie de calmer le jeu avec les mots plutôt qu’avec les gestes même s’il n’est pas du genre patient. La plus part du temps, il est néanmoins de bonne humeur et affiche un large sourire. Sourit à la vie et elle te sourira en retour.


Petit +

Il est droitier mais tient sa fourchette dans la main gauche et le couteau dans la droite. Il chante sous sa douche, mal, mais il chante. Il se passionne pour le dessin, il est très créatif, c’est surtout ça qui l’a poussé à se lancer dans l’architecture même s’il trouve que le dessin c’est pas particulièrement viril. Il aime boire du café serré même s’il aime bien aussi le chocolat chaud, avec des marshmallows. Il se mord la lèvre inférieur quand il réfléchit et a toujours un vilain tic de se passer la main dans ses cheveux, toute la journée. Il adore les animaux, particulièrement les chiens. Il est allergique aux acariens. Il attrape un rhume chaque hiver mais il adore cette saison de l’année et la neige même si sa préférée reste l’automne, aux milles couleurs. Il ne fume pas et ne bois qu’en soirée, généralement un whisky ou de la vodka –sans odeur mais pas sans effet. Son film préféré est Freedom Writers et il fan de musique, de toutes sortes, mais il a une nette préférence pour la pop et le rock. Son groupe préféré ? Les mythiques Beatles. Son chanteur préféré ? Sinatra. Il aimerait voyager, comme son père, parcourir le monde, découvrir de nouvelles cultures, rencontrer de gens et s’adapter à leurs styles de vie et leurs mœurs, se contenter de vivre, sans contraintes.


Histoire ❧
« C’est moi ‘man ! » annonçai-je en passant le seuil de la porte comme à mon habitude. Je déposai mon sac dans le couloir et posai les clés sur le petit meuble de l’entrée, la porte de la cuisine était ouverte mais il n’y avait personne, j’avançai alors vers le salon. Mon père ne rentrant de son voyage d’affaire que le surlendemain, ma mère était seule durant la journée, bien que Mrs Murphy, notre voisine –une mamie gâteuse mais très attentionnée- vienne la voir deux fois par jour histoire de s’assurer qu’elle aille bien. Ma mère, Aribelle souffre de dépression, et parfois, cela m’inquiète terriblement. Elle tente lentement de se remettre sur pied mais je sais qu’elle n’y arrivera pas seule, c’est pourquoi j’avais demandé à la veuve qui vit dans l’appartement d’en face de venir lui tenir compagnie de temps à autres. Le commencement de la dépression de ma mère a été une période très difficile pour moi, j’avais du mal à comprendre cette maladie et encore pire, je trouvais ma mère égoïste. Aujourd’hui, je me suis rendu compte que c’était moi, l’égoïste, qu’au lieu de l’aider de mieux que je pouvais, j’ai préféré laisser cette charge à mon père et me noyer dans mon propre chagrin et mes dessins. Mais aujourd’hui, j’ai changé, j’ai mûri. J’aide ma mère à ne pas s’enfoncer encore plus profondément dans le gouffre du chagrin. Mon père aussi fait de son mieux, je le sais, je l’espère. Mais indéniablement, je redoute le moment où elle dépassera ses limites, où au lieu de prendre des antidépresseurs en quantité correcte et de reprendre des semblants d’activités normales, elle n’avale tous les comprimés qu’elle trouve sur son chemin et s’endorme pour ne plus jamais se réveiller. Tout ce cauchemar a commencé il y a quatre ans, alors qu’Aribelle était enceinte. C’était un évènement heureux pour nous, j’avais toujours voulu un petit frère –ou une petite sœur. Ayant vécu une enfance de fils unique, je m’étais toujours souhaité d’avoir un compagnon de jeux, de querelles, quelqu’un sur qui compter et veiller. Mais, pour notre plus grand malheur, ma tendre mère a fait une fausse couche et a perdu l’enfant. Elle en était très affligé mais ce n’est qu’un an plus tard que son moral à commencer à décliner et qu’elle ne supportait plus ce poids sur ses frêles épaules. Puis, mon grand-père maternel, Howard, est décédé suite à un cancer du pancréas qui s’est généralisé. C’était la goutte de trop et ma mère a craqué. Mon père –qui est un homme d’affaire et voyage énormément- a pris une année sabbatique pour s’occuper d’elle. Je l’aime, ma mère. On dit qu’une mère est le premier amour d’un fils et je peux vous assurer que cette expression est plus que véridique. Mais pendant tout ce temps, j’essayais de vivre normalement, j’étais moi-même exténué et j’ai appris qu’on ne peut pas tout supporter, pas tout seul. Heureusement, j’avais Abigail.

Abigail, c’est la personne la plus importante à mes yeux, celle pour qui je donnerai ma vie les yeux fermés. J’ai fait sa rencontre dans un parc alors que j’avais neuf ans et elle huit. Le parc n’était pas bien loin de notre appartement et j’aimais m’y rendre de temps à autres, histoire de rencontrer d’autres enfants et jouer avec –toujours dans la logique du fils unique seul et perdu. Et c’est durant une journée d’été fraîche et ensoleillée que je l’ai vue pour la première fois. Elle portait deux petites couettes sur chaque côté de la tête et une robe à fleur dans des tons rosâtres. Elle était sur la pointe des pieds et tentait de récupérer quelque chose dans les mains d’un autre garçon qui faisait bien une tête de plus qu’elle et la narguait. Je m’étais lentement approché et observait plus précisément la scène. L’autre garçonnet tenait en main quelque chose qui ressemblait à une poupée. Deux pas encore et Noah pu saisir des bribes de paroles provenant de la bouche de l’autre garçon. « T’as encore une poupée, O’Connor ?! A ton âge ? Mais c’est qu’on est encore une petite fille ! » Je le trouvais blessant et c’est pourquoi je me suis précipité vers lui, et lui ait ordonné de lui rendre son bien. « Qu’est-ce que t’as, toi ? Qu’est-ce que ça peut te faire ?! » me lança-t-il. Je lui jetais un regard furieux et tempétueux tout en répétant ma demande. Pour seule réponse il me rit au nez et s’en était trop, je lui donnai un vif coup de pied dans le genou et il finit par lâcher prise et partir, ne voulant pas resté en ma présence plus longtemps je présume. Puis, j’ai ramassé la poupée, qui était couverte de poussière et du sable du bac où nous nous trouvions, l’épousseta et la tendis à Abigail. Je n’oublierai jamais son regard. Ses yeux brillaient, scintillaient, dansaient, ses lèvres s’étiraient un en sourire joyeux et d’une voix mielleuse elle me dit : « Moi, c’est Abigail. Et toi ? Comment tu t’appelles ? » Et c’est ainsi qu’est né notre relation. Durant les premières années, nous sommes restés de simples amis, partageant les mêmes écoles, se voyant de temps à autres. Mais il y a deux ans, tout a changé, et pour le mieux, je dois bien l’avouer. Le beau-père d’Abigail est subitement décédé et cela l’a beaucoup affectée. Je ne voulais pas revivre avec Abi la même chose qu’avec ma mère, je n’aurais pu le supporter. Je tenais déjà à elle à l’époque, les amis s’entraident, pas vrai ? J’ai donc pris mon courage à deux mains et un soir, alors qu’elle était encore absente en cours, j’ai décidé de prendre de ses nouvelles et de lui apporter ses devoirs –ce que j’ai fini par faire chaque soir en fait. Ses yeux étaient rouge et bouffis, emplis de larmes et de chagrin. Chaque soir, c’était le même rituel, je venais sonner à leur porte, sa mère m’ouvrait puis j’entrai dans sa chambre. Je posai les cours sur son bureau et si elle se mettait à pleurer ou était entrain alors que j’étais là, je l’étreignait, jusqu’à ce qu’elle cesse. Je restais parfois des heures entières chez elle, au détriment de ma propre famille. Au bout de quelque temps, Abi a fini par aller mieux et est retourner en cours. J’avais assez d’orgueil pour m’attribuer le mérite de l’avoir aidé à remonter la pente, puis je me sentais coupable. Si j’avais été là pour ma mère depuis le début, irait-elle mieux, elle aussi ? Cependant, nous ne sommes en couple que depuis un an, Joy et moi. On a mis quelque temps à s’avouer nos sentiments respectifs, mais depuis, nous sommes inséparables. C’est une des seules personnes qui sachent tout à mon sujet, notamment sur mon cadre familial –je dois bien avouer que même si je suis assez baratineur, je déteste aborder ce sujet en public- et elle était donc une personne de confiance pour moi, une épaule sur qui s’appuyer, se réconforter. Pour rien au monde, je ne renoncerai à elle. On dit que le premier véritable amour qu’on connait est le plus puissant, le plus dévorant. Certains disent qu’il ne dure pas, d’autres encore, affirme qu’on peut finir ses jours aux côtés de son premier amour ; moi, je maintiens qu’il suffit de profiter de l’instant, qu’on a toute la vie devant nous et que sans elle, je ne serais pas le même qu’aujourd’hui.

Dans le salon, je trouvais ma mère allongé sur le sofa, la télécommande à la main et les yeux rivés sur l’écran plat de la télévision. Je m’approchai lentement et notant qu’elle ne m’avait pas remarqué ni entendu, je plaquai mes mains sur ses yeux, comme elle le faisait, lorsque j’étais enfant. Sous mes paumes, je sentis ses lèvres se fendre en un sourire. Je souriais moi-même. « Je me demande qui ça peut être. » lâcha-t-elle d’une voix amusée. Puis, je laissais retomber mes mains, contournait le canapé et l’embrassa sur la joue. « Bonjour ‘man. Tu as passé une bonne journée ? » Elle me répondit d’un sourire. Elle était dans un de ses « bons » jours, ceux où elle sourit, rit, vit. J’appréciais énormément ces journées, elle était heureuse, comme avant et à chaque fois j’espérais pour que cela dure. Espérer et attendre, c’est tout. Je m’assis à côté d’elle et elle posa sa tête contre mon épaule. D’un air rêveur, je laissais mon regard balayer la pièce, s’attardant sur la bibliothèque aux centaines de livres, les photos accrochées aux murs, les rideaux qui laissait transparaître les rayons du Soleil. Le tout en pensant à ma vie, ma mère, mon père, à Abi, à mes études d’architectures, aux voyages que je prévoie de faire plus tard, aux parties de bowling avec Ian et mes amis, à Mrs Murphy, à mon cahier de croquis sans lequel je ne sors jamais, à mon prochain match de foot, au riz aux crevettes que j’ai mangé hier soir, au panini que j’ai avalé en rentrant, aux petites fleurs qui commencent à pousser dans ce parc que j’aime tant, aux soirées que j’ai et que je vais passer avec ma famille, mes amis, ma petit-amie, au passé, à l’avenir, mais surtout, au présent.



Dans la vraie vie, je suis...

Une citation qui te fait plaiz'... Wesh !
Prénom / Pseudo : Anna ou _ohmagad
Âge : 15 ans
Vous ici ? Pourquoi ? Comment ? : You know, one night, i had a dream... Naaan, enfaite, je suis modératrice *et ouais*
Péché mignon : Le chocolat au caramel daim noah s. fitz || and in this moment, i swear we are infinite  4224397256

Les crédits, on les veut ! : Tumblr (c) unkw, livejournal (c) loganstills
Notre petit code, c’est kwa ? : Je m'autovalide ! eh oui, c'est ça le pouvoir de l'administration Cool

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